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  • bdrjonesbj

Pourquoi je fais ce que je fais

Qu'est ce qui m'a amméné à créer ma méthode !

Le rencontre avec la france


Ça fait 14 ans que je vie en France. Ma venu en France a coïncidé avec le début de mon développement personnel “à l'Américaine” où je me suis rendu compte que jusque là, je vivais ma vie en mode automatique et qu'en modifiant ma pensée je voyais plus d'options. Un “pouvoir personnel” (j'avais bien dit à l'américaine!) naissait en moi. En même temps, naissait l'évidence de ce qu'apporte le développement personnel dans le milieu professionnel, je suis devenu convaincu que l'épanouissement personnel et la réussite de l'entreprise n'étaient que les deux faces de la même pièce.


Un seulet petitproblème, ma maîtrise du français! Quand je suis arrivé en France, je parlais à peine la langue. Le manque d'intérêt dans le milieu scolaire et les conditions d'apprentissage m'ont laissé totalement indifférent. Je ne maîtrisais que des rudiments de la langue. J'ai la certitude que sans l'état d'esprit, et les outils que j'avais acquis grâce au neurosciences, je n'y serais jamais arrivé. Grâce aux outils, à la motivation, au sens que j'ai pu trouver, et l'attitude qui en découle, j'ai pu rester dans une dynamique d'amélioration constante qui m'a ouvert tant de portes.


J'ai décidé il y a dix ans que je voulais être coach en entreprise pour apporter des outils de développement personnel et je suis devenu Formateur Professionnel afin de commencer à travailler avec des entreprises et dispenser des formations. Cela semble une évidence pour beaucoup de personnes qu'un anglais qui vient s’établir en France deviendrait “Professeur” d'anglais. L'idée ne m'attirait pas du tout. Mon seul but était de transmettre certaines clés et que l'on puisse se donner des moyens d'être libre et conscient de son pleinpotentiel dans le milieu professionnel.


Pourtant, pendant ma formation de formateur l'on m'a demandé de former une groupe de professionnels en anglais. Cette expérience m'a marqué. Jamais je n’aurais imaginé le malaise vécu par la majorité de ceux qui apprenaient et pratiquaient l'anglais dans ce contexte de formation.


Je me suis renseigné sur les freins des professionnels qui collaborent à l'internationale ainsi que les pratiques courantes de l'enseignement de l'anglais. Le discours général était souvent le même:

“On est pas bon en anglais, on évite de parler car on se sent ridicule, on fait trop d'erreurs; mais bon, la manière de l'enseigner en France n'aide pas.”


J'étais interpellé par ce que j'observais. En voulant parler l'anglais, ou simplement en évoquant le sujet c'était comme si les personnes devant moi changeaient de posture, ils étaient plus fermés, ils perdaient leur spontanéité. Les voies de la communication devenaient tellement étroites que les informations transmises n'avait que peu de sens. Pourtant, l'anglais n'est il pas une langue vivante? L'anglais est la langue l'internationale car l'on peut l'employer de manière simple, sans se soucier de la forme, et ce faisant, ceux qui l'utilisent peuvent laisser la place à la communication, aller au fond du sujet, et cela au profit de l'humain. Tels est la culture des natifs, et le clivage entre cette culture et celle de nombreux français me dérangeais.

J'ai senti naître en moi une certitude, une mission sous-tendue par une vision de ce qui pourrait être: Les français qui apprennent et communiquent en anglais avec aisance, et qui avancent vers leurs objectifs linguistiques et professionnels dans cette dynamique. Pas dans la douleur. Au début j'ai rencontré énormément de résistance car l'on m'a fait comprendre qu'il n'y avait pas de place pour le développement personnel dans l'apprentissage. Je n'ai jamais compris la logique de ce point de vue et aujourd’hui, je suis de plus en plus soutenu dans mes démarches pédagogiques.


Aujourd'hui j'ai inventé une méthode qui s’appelle : MOVEC. Je la pratique dans le cadre de ma société Peak Performance English. Ceux qui bénéficient de mes services et de mon approche sont d'abord surpris puis ravis des résultats. Grâce aux outils que je leur donne, ils ne tardent pas à voir les résultats escompté

Quelles sont les rencontres et les pratiques qui m'ont marqué?

Neurosciences

Mon baptême dans les neurosciences et les modèles cognitifs m'a ouvert les horizons et m'a permis de comprendre l'apprentissage et le changement. J'ai pu comprendre comment certaines conditions culturelles liées à l'éducation et les conditions d'apprentissage on pu conditionner nombreux français à vivre un sentiment d'échec constant en voulant apprendre et pratiquer l'anglais. J'ai appris comment on se motive et se démotive, J'ai appris le pouvoir des choix et le pouvoir d'un déclic si l'on sait quoi en faire par la suite.


L'approche corporelle


En voulant me libérer des maux de dos et des limites que mon corps à pu “m'imposer”, j'ai découvert des approches tels que le coaching sportif, le yoga, les échauffements, les effets que le travail corporelpeut avoir sur sa clarté, sa motivation, l'apprentissage et la performance intellectuelle. Les échanges riches avec des professeurs, des kinésithérapeute, des ostéopathes, m'ont permis d'approfondir mes connaissances sur la maîtrise de soi. J'ai pu mieux comprendre à quel point parler de façon fluide ne repose pas uniquement sur les connaissances... Pour collaborer, transmettre un message, il faut bien des connaissances et des compétences linguistiques mais on ne doit pas oublier que l'on s'exprime via un appareil vocal complexe animé par le souffle. Si une langue n'est pas pleinement intégrée au niveau physique nous restons limités. Une des clés de votre éloquence se trouve en prenant un chemin qui reste inexploré, à savoir, votre corps.


Les approches et les techniques pédagogiques novatrices

Aujourd'hui, j'applique le brain-gym, certains éléments de l'approche Montessori, les dernières avancés dans l'acquisition des compétences afin de rendre à ceux qui souhaite parler l'anglais aisément ce qui devrait leur appartenir: Leur autonomie.


Les approches “hacking”


Qu'est ce qui nous rend plus attentifs? Quelles sont les conditions préalables et les étapes du “flow state”? Comment se forme les nouvelles habitudes? Quels sont les effets de l'affectif sur notre capacité à apprendre et à appliquer nos connaissances. Qu'est ce qui fait la différence entre “je devrais mais je doute” et “j'y vais car je peux!”

Aujourd'hui grâce à la “psychologie positive” ( destiné à vous « améliorer » que nous distinguons de la psychologie thérapeutique qui sert à réparer un trauma ) nous avons plus que jamais des clés, des approches soutenues par de nombreuses années de recherche et de rigueur scientifique. Quand une approche ou une technique donne des résultats aux clients qui veulent mieux vendre, pitcher, collaborer et inspirer, je la leur propose. Quand cela marche de manière conséquente, je les adopte et elles font parti de l’approche Peak Performance English.

Comment mes passions ont pu y contribuer?

Depuis 20 ans je joue dans des groupes de musique et je chante régulièrement. J'ai pu , il y a quelques années, donner quelques cours de chant qui m'ont fait comprendre que son apprentissage n'est pas si simple! En creusant le sujet j'ai découvert l'étude et techniques de chant et la science qui est derrière. En collaboration avec certains centres de formation j'ai testé l'utilisation du Karaoké, et d'autres formes de vocalisation afin d'améliorer les accents. Ceci n'est pas très novateur en soi, et tout n'est pas à garder mais cela m'a permis d'affiner mes observations et de continuer à répondre à la question “qu'est ce qui fait la différence entre ceux qui s'expriment, et ceux qui “s'éclatent”. Nombreux artistes n'ont plus d'accent quand ils chantent mais le retrouvent quand ils parlent. Y a t'il un nouveau “hack” pour améliorer rapidement son accent?


J'en suis convaincu! Les leaders qui choisissent de dépasser leurs limites et faire un vrai travail sur la voix constatent et éprouvent une autre manière de s'exprimer et de ressentir l'expression en anglais. Un coach français en prise de parole en public qui souhaitait améliorer son impacte dans des conférences en anglais m’en avait fait la remarque :

“C’est plus que m'a voix, il s'agit d'une forme d'énergie”

Là, on ne parle plus d'une simple amélioration d'accent, on parle de présence, d’aisance et d’une expérience optimale de l'anglais. On parle de ce qui est possible avec Peak Performance English.




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